La mésange bleue
nom scientifique : Cyanistes caeruleus
En Suisse on dénombre entre 160’000 et 300’000 couples nicheurs. Cette espèce profite de sa faculté d’adaptation à la présence humaine et est peu exigeante tant au niveau de son alimentation que de son habitat. Elle a été la 6ème espèce la plus fréquente dans les jardins recensés aux cours des 4 dernières éditions de l’action «Oiseaux de nos jardins», avec une présence variant entre 50% et 60%, selon les années. (source birdlife.ch)
Ce passereau illumine nos jardins de ses couleurs mais travaille également pour nous car il est friand d’insectes ravageurs telles que chenilles, larves ou autres parasites.
Une particularité de cet oiseau c’est que nous ne pouvons voir à l’oeil nu une différence entre mâle et femelle car leurs plumages sont identiques. Seule la couleur de la tête des mâles diffère de celle des femelles et n’est visible que dans le spectre des UV que les oiseaux, contrairement aux mammifères, voient.
La mésange bleue est la première série sur ce bel oiseau. Je prépare également des articles sur ses cousines, la mésange charbonnière, des saules, huppée et peut-être, si j’ai assez de photographies la mésange à longue-queue.
